( 8ème génération côté maternel ) Charles FRANÇOIS Afficher toutes les personnes portant le nom FRANÇOIS

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 Note sur la personne :
Censier, laboureur, cultivateur… Le mot laboureur caractérise surtout (je ne dis pas uniquement) le XVIIe siècle. Il est ensuite remplacé par cultivateur, assez souvent. Permettezmoi de prendre un exemple tiré de ma propre généalogie : mes ancêtres vivaient tous dans la même région, entre Lille et Tournai (aujourd’hui en Belgique). Au XVIe siècle, on les désignait sous le mot censier tandis qu’au XVIIe siècle c’est le terme de laboureur qui était utilisé. Ils deviennent ensuite (à la fin du XVIIIe siècle) cultivateurs, sans pour autant quitter leur exploitation agricole, leur ferme. Ce cas n’est pas unique, loin de là. La fameuse enquête sur les noms de famille commençant par les lettres TRA, menée par Jacques Dupâquier, a permis aussi de repérer cette évolution. La dénomination laboureur diminue sans cesse, au profit de celle de cultivateur qui s’impose au cours des XVIIIe et XIXe siècles. Mais le mot laboureur subsiste dans les provinces de l’ouest et du centre, depuis la Bretagne jusqu’au Forez ou à l’Auvergne.
On voit apparaître aussi, dans le Jura, la distinction entre le laboureur et le cultivateur, ce dernier étant le gros propriétaire. De même dans la région de Breteuil, pays de transition entre le Beauvaisis, la Normandie et la Picardie ; nous voyons disparaître peu à peu le terme de laboureur remplacé par celui de cultivateur et de propriétaire. Dans le bas Dauphiné, la distinction s’opère entre le journalier et le laboureur, selon qu’ils ont moins ou plus de trois hectares. Bref, la puissance foncière se traduit par des termes qui évitent de mélanger les torchons et les serviettes… Dans certaines provinces, il n’y a pas de laboureurs, ni de terme équivalent, pour des raisons économiques. Par exemple, dans les Vosges, le recensement de 1771 n’indique que des journaliers et des marcaires c’est-à-dire des éleveurs, mais aucun laboureur : « Il n’y a aucun labourage dans cette communauté, que quelques chenevières [culture de chanvre] et jardins potagers, laquelle est enclavée dans les désertes montagnes des Vosges, étant terre de sable qui ne produit rien. » Des cas semblables pourraient être relevés dans le Jura, les Alpes, le Massif Central ou les Pyrénées.
 né ca 1732 à Courcelette
décédé le 13 janvier 1798 à Sailly-le-Sec Situe la ville sur une carte OpenStreetMap
Profession : Laboureur
Numéro Sosa : 226



Conjoints :
Marie  DÈCLE ; Noyau familial Ascendants des conjoints 

 Note sur la personne :
Son gendre Cir Côme Leroy était témoin pour la déclaration de décès.
  née ca 1734
décédée le 17 novembre 1807 à Sailly-le-Sec
Profession : Fileuse
Numéro Sosa : 227

Enfants avec le conjoint :
Charles FRANÇOIS  né ca 1760 , décédé le 12 octobre 1829 à Sailly-le-Sec 
( 7ème génération côté maternel )Marguerite FRANÇOIS( 7ème génération côté maternel )  née ca 1761 , décédée le 18 janvier 1804 à Sailly-le-Sec 
Firmin FRANÇOIS  né le 4 novembre 1766 à Sailly-le-Sec, décédé le 21 décembre 1766 à Sailly-le-Sec 
Marie Joséphine FRANÇOIS  née le 26 novembre 1767 à Sailly-le-Sec, décédée le 28 janvier 1817 à Sailly-le-Sec 
Claude Maurice FRANÇOIS  né le 20 septembre 1769 à Sailly-le-Sec, décédé le 1er juillet 1836 à Suzanne Situe la ville sur une carte OpenStreetMap 
Marie Batilde FRANÇOIS  née le 27 janvier 1771 à Sailly-le-Sec 
Jean Baptiste FRANÇOIS  né le 10 février 1773 à Sailly-le-Sec 
Firmin Honoré FRANÇOIS  né le 17 avril 1776 à Sailly-le-Sec 
Jean François FRANÇOIS  né le 29 juin 1779 à Sailly-le-Sec, décédé le 27 novembre 1779 à Sailly-le-Sec 
Ré-organisation des rangs


Oncles et tantes
Cousins et cousines
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