Marie Anne LEROY Afficher toutes les personnes portant le nom LEROY

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 Note sur la personne :
Témoins du DC
En présence de Jacques Dufour son mari et Simon son fils
 née ca 1718
décédée le 22 novembre 1786 à Sailly-le-Sec Situe la ville sur une carte OpenStreetMap
Profession : Domestique
Fille de Charles LEROY et de Françoise COURTOIS



Conjoints :
Jacques DUFOUR ; Noyau familial Ascendants des conjoints mariés le 30 septembre 1766 à Sailly-le-Sec témoins du mariage :  Claude Dufour l'ainé, Claude Dufour le Jeune, Louis Roussel, Martin Caumartin le jeune, Alexis Dufour, Antoine Tripier, Jacques Dufour ? Et martin Dufour (qui a signé sans etre nommé 

Surnom : Jacques l'aîné
 Note sur la personne :
oncle de Marie Charlotte Roussel épouse Francois,
Frère utérin de Claude Roussel décédé en 1782 à l'âge de 68 ans  
Note sur la personne :
Censier, laboureur, cultivateur… Le mot laboureur caractérise surtout (je ne dis pas uniquement) le XVIIe siècle. Il est ensuite remplacé par cultivateur, assez souvent. Permettezmoi de prendre un exemple tiré de ma propre généalogie : mes ancêtres vivaient tous dans la même région, entre Lille et Tournai (aujourd’hui en Belgique). Au XVIe siècle, on les désignait sous le mot censier tandis qu’au XVIIe siècle c’est le terme de laboureur qui était utilisé. Ils deviennent ensuite (à la fin du XVIIIe siècle) cultivateurs, sans pour autant quitter leur exploitation agricole, leur ferme. Ce cas n’est pas unique, loin de là. La fameuse enquête sur les noms de famille commençant par les lettres TRA, menée par Jacques Dupâquier, a permis aussi de repérer cette évolution. La dénomination laboureur diminue sans cesse, au profit de celle de cultivateur qui s’impose au cours des XVIIIe et XIXe siècles. Mais le mot laboureur subsiste dans les provinces de l’ouest et du centre, depuis la Bretagne jusqu’au Forez ou à l’Auvergne.
On voit apparaître aussi, dans le Jura, la distinction entre le laboureur et le cultivateur, ce dernier étant le gros propriétaire. De même dans la région de Breteuil, pays de transition entre le Beauvaisis, la Normandie et la Picardie ; nous voyons disparaître peu à peu le terme de laboureur remplacé par celui de cultivateur et de propriétaire. Dans le bas Dauphiné, la distinction s’opère entre le journalier et le laboureur, selon qu’ils ont moins ou plus de trois hectares. Bref, la puissance foncière se traduit par des termes qui évitent de mélanger les torchons et les serviettes… Dans certaines provinces, il n’y a pas de laboureurs, ni de terme équivalent, pour des raisons économiques. Par exemple, dans les Vosges, le recensement de 1771 n’indique que des journaliers et des marcaires c’est-à-dire des éleveurs, mais aucun laboureur : « Il n’y a aucun labourage dans cette communauté, que quelques chenevières [culture de chanvre] et jardins potagers, laquelle est enclavée dans les désertes montagnes des Vosges, étant terre de sable qui ne produit rien. » Des cas semblables pourraient être relevés dans le Jura, les Alpes, le Massif Central ou les Pyrénées.
  né ca 1732
décédé le 7 janvier 1800 à Sailly-le-Sec
Profession : Laboureur
Numéro Sosa : 224
Fils de Simon DUFOUR et de Éléonore DEVILLE

Enfants avec le conjoint :



Oncles et tantes
Cousins et cousines
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