Marguerite TURQUET Afficher toutes les personnes portant le nom TURQUET

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née le 1er janvier 1730 à Méaulte Situe la ville sur une carte OpenStreetMap
décédée avant le 1er janvier 1784
Profession :



Conjoints :
Adrien CAUDRON ; Noyau familial Ascendants des conjoints 

 Note sur la personne :
Censier, laboureur, cultivateur… Le mot laboureur caractérise surtout (je ne dis pas uniquement) le XVIIe siècle. Il est ensuite remplacé par cultivateur, assez souvent. Permettezmoi de prendre un exemple tiré de ma propre généalogie : mes ancêtres vivaient tous dans la même région, entre Lille et Tournai (aujourd’hui en Belgique). Au XVIe siècle, on les désignait sous le mot censier tandis qu’au XVIIe siècle c’est le terme de laboureur qui était utilisé. Ils deviennent ensuite (à la fin du XVIIIe siècle) cultivateurs, sans pour autant quitter leur exploitation agricole, leur ferme. Ce cas n’est pas unique, loin de là. La fameuse enquête sur les noms de famille commençant par les lettres TRA, menée par Jacques Dupâquier, a permis aussi de repérer cette évolution. La dénomination laboureur diminue sans cesse, au profit de celle de cultivateur qui s’impose au cours des XVIIIe et XIXe siècles. Mais le mot laboureur subsiste dans les provinces de l’ouest et du centre, depuis la Bretagne jusqu’au Forez ou à l’Auvergne.
On voit apparaître aussi, dans le Jura, la distinction entre le laboureur et le cultivateur, ce dernier étant le gros propriétaire. De même dans la région de Breteuil, pays de transition entre le Beauvaisis, la Normandie et la Picardie ; nous voyons disparaître peu à peu le terme de laboureur remplacé par celui de cultivateur et de propriétaire. Dans le bas Dauphiné, la distinction s’opère entre le journalier et le laboureur, selon qu’ils ont moins ou plus de trois hectares. Bref, la puissance foncière se traduit par des termes qui évitent de mélanger les torchons et les serviettes… Dans certaines provinces, il n’y a pas de laboureurs, ni de terme équivalent, pour des raisons économiques. Par exemple, dans les Vosges, le recensement de 1771 n’indique que des journaliers et des marcaires c’est-à-dire des éleveurs, mais aucun laboureur : « Il n’y a aucun labourage dans cette communauté, que quelques chenevières [culture de chanvre] et jardins potagers, laquelle est enclavée dans les désertes montagnes des Vosges, étant terre de sable qui ne produit rien. » Des cas semblables pourraient être relevés dans le Jura, les Alpes, le Massif Central ou les Pyrénées.
  né ca 1724 à Bray-sur-Somme Situe la ville sur une carte OpenStreetMap
décédé le 11 juillet 1800 à Méaulte
Profession : Laboureur

Enfants avec le conjoint :
Pierre <François> CAUDRON  né le 30 septembre 1757 à Méaulte, décédé le 13 mai 1831 à Sailly-le-Sec Situe la ville sur une carte OpenStreetMapProblème sur le rang
Marie Anne CAUDRON  née le 5 avril 1751 à MéaulteProblème sur le rang
Adrien Henri CAUDRON  né le 24 septembre 1747 à Méaulte, décédé le 20 février 1796 à MéaulteProblème sur le rang
Marguerite CAUDRON  née le 10 juillet 1749 à MéaulteProblème sur le rang
Pierre Florent CAUDRON  né le 1er février 1754 à Méaulte, décédé le 16 octobre 1843 à MéaulteProblème sur le rang
François <Nicolas> CAUDRON  né le 7 décembre 1755 à Méaulte, décédé le 7 novembre 1833 à MéaulteProblème sur le rang
Ré-organisation des rangs


Oncles et tantes
Cousins et cousines
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