Jeanne GAUGNEUX Afficher toutes les personnes portant le nom GAUGNEUX

Ajouter une contribution pour Jeanne GAUGNEUX  Choisir provisoirement cette personne comme de cujus (ou Sosa 1) Chronologie Aide sur la page Arbres Arbre descendant Accueil
 Note sur la personne :
Registre non numérisé.
 née le 12 janvier 1771 à Charentonnay Situe la ville sur une carte OpenStreetMap
décédée le 24 août 1807 à Charentonnay (âge : 36 ans et 7 mois)
Profession :
Fille de Pierre GAUGNEUX et de Marie JULIEN



Conjoints :
Edme DOUDEAU ; Noyau familial Ascendants des conjoints mariés le 16 juin 1801 à Charentonnay Registre non numérisé 

 Note sur la personne :
Censier, laboureur, cultivateur… Le mot laboureur caractérise surtout (je ne dis pas uniquement) le XVIIe siècle. Il est ensuite remplacé par cultivateur, assez souvent. Permettezmoi de prendre un exemple tiré de ma propre généalogie : mes ancêtres vivaient tous dans la même région, entre Lille et Tournai (aujourd’hui en Belgique). Au XVIe siècle, on les désignait sous le mot censier tandis qu’au XVIIe siècle c’est le terme de laboureur qui était utilisé. Ils deviennent ensuite (à la fin du XVIIIe siècle) cultivateurs, sans pour autant quitter leur exploitation agricole, leur ferme. Ce cas n’est pas unique, loin de là. La fameuse enquête sur les noms de famille commençant par les lettres TRA, menée par Jacques Dupâquier, a permis aussi de repérer cette évolution. La dénomination laboureur diminue sans cesse, au profit de celle de cultivateur qui s’impose au cours des XVIIIe et XIXe siècles. Mais le mot laboureur subsiste dans les provinces de l’ouest et du centre, depuis la Bretagne jusqu’au Forez ou à l’Auvergne.
On voit apparaître aussi, dans le Jura, la distinction entre le laboureur et le cultivateur, ce dernier étant le gros propriétaire. De même dans la région de Breteuil, pays de transition entre le Beauvaisis, la Normandie et la Picardie ; nous voyons disparaître peu à peu le terme de laboureur remplacé par celui de cultivateur et de propriétaire. Dans le bas Dauphiné, la distinction s’opère entre le journalier et le laboureur, selon qu’ils ont moins ou plus de trois hectares. Bref, la puissance foncière se traduit par des termes qui évitent de mélanger les torchons et les serviettes… Dans certaines provinces, il n’y a pas de laboureurs, ni de terme équivalent, pour des raisons économiques. Par exemple, dans les Vosges, le recensement de 1771 n’indique que des journaliers et des marcaires c’est-à-dire des éleveurs, mais aucun laboureur : « Il n’y a aucun labourage dans cette communauté, que quelques chenevières [culture de chanvre] et jardins potagers, laquelle est enclavée dans les désertes montagnes des Vosges, étant terre de sable qui ne produit rien. » Des cas semblables pourraient être relevés dans le Jura, les Alpes, le Massif Central ou les Pyrénées.
  né le 4 mai 1766 à Suilly-la-Tour Situe la ville sur une carte OpenStreetMap
décédé le 3 mars 1832 à Baugy Situe la ville sur une carte OpenStreetMap (âge : 65 ans et 9 mois)
Profession : Laboureur
Fils de Jean DOUDEAU et de Marguerite DELAVAUX
Evènements et faits pour l'union  Montrer les évènements
Domicile
 Moulin de Chaumasson à Charentonnay

Enfants avec le conjoint :
Mrguerite DOUDEAU  née le 12 mai 1802 à CharentonnayProblème sur le rang
Claude DOUDEAU  né le 26 juin 1804 à Charentonnay, décédé le 12 octobre 1804 à CharentonnayProblème sur le rang
Marie DOUDEAU  née le 8 mars 1806 à CharentonnayProblème sur le rang
Antoine DOUDEAU  né le 24 août 1807 à Charentonnay, décédé le 14 septembre 1808 à CharentonnayProblème sur le rang
Ré-organisation des rangs


Oncles et tantes
Cousins et cousines
Ajouter une contribution pour Jeanne GAUGNEUX  Choisir provisoirement cette personne comme de cujus (ou Sosa 1) Chronologie Aide sur la page Arbres Arbre descendant Accueil