François FORCEAU Afficher toutes les personnes portant le nom FORCEAU

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Surnom : Le Seigneur des Barres
 Note sur la personne :
Date de décès vue sur acte de mariage de son fils François et Marie Millet.
\"Les Barres\" est un lieu-dit de Garigny
Note sur la personne :
Censier, laboureur, cultivateur… Le mot laboureur caractérise surtout (je ne dis pas uniquement) le XVIIe siècle. Il est ensuite remplacé par cultivateur, assez souvent. Permettezmoi de prendre un exemple tiré de ma propre généalogie : mes ancêtres vivaient tous dans la même région, entre Lille et Tournai (aujourd’hui en Belgique). Au XVIe siècle, on les désignait sous le mot censier tandis qu’au XVIIe siècle c’est le terme de laboureur qui était utilisé. Ils deviennent ensuite (à la fin du XVIIIe siècle) cultivateurs, sans pour autant quitter leur exploitation agricole, leur ferme. Ce cas n’est pas unique, loin de là. La fameuse enquête sur les noms de famille commençant par les lettres TRA, menée par Jacques Dupâquier, a permis aussi de repérer cette évolution. La dénomination laboureur diminue sans cesse, au profit de celle de cultivateur qui s’impose au cours des XVIIIe et XIXe siècles. Mais le mot laboureur subsiste dans les provinces de l’ouest et du centre, depuis la Bretagne jusqu’au Forez ou à l’Auvergne.
On voit apparaître aussi, dans le Jura, la distinction entre le laboureur et le cultivateur, ce dernier étant le gros propriétaire. De même dans la région de Breteuil, pays de transition entre le Beauvaisis, la Normandie et la Picardie ; nous voyons disparaître peu à peu le terme de laboureur remplacé par celui de cultivateur et de propriétaire. Dans le bas Dauphiné, la distinction s’opère entre le journalier et le laboureur, selon qu’ils ont moins ou plus de trois hectares. Bref, la puissance foncière se traduit par des termes qui évitent de mélanger les torchons et les serviettes… Dans certaines provinces, il n’y a pas de laboureurs, ni de terme équivalent, pour des raisons économiques. Par exemple, dans les Vosges, le recensement de 1771 n’indique que des journaliers et des marcaires c’est-à-dire des éleveurs, mais aucun laboureur : « Il n’y a aucun labourage dans cette communauté, que quelques chenevières [culture de chanvre] et jardins potagers, laquelle est enclavée dans les désertes montagnes des Vosges, étant terre de sable qui ne produit rien. » Des cas semblables pourraient être relevés dans le Jura, les Alpes, le Massif Central ou les Pyrénées.
 né ca 10 décembre 1727 à Garigny Situe la ville sur une carte OpenStreetMap
décédé le 10 novembre 1771 à Garigny
Profession : Laboureur
Fils de François FORCEAU et de Jeanne BRIADY



Conjoints :
Françoise MASSELON ; Noyau familial Ascendants des conjoints mariés ca 19 février 1754 à Garigny

née ca 1730 à Garigny
décédée le 24 juin 1811 à Garigny
Profession :
Fille de Silvain MASSELON et de Françoise MAINDRET

Enfants avec le conjoint :
Louis FORCEAU  né ca 1760 , décédé après le 1er janvier 1836  
Marie FORCEAU  née ca 1762 , décédée le 27 janvier 1833 à Garigny 
François FORCEAU  né le 20 novembre 1767 à Garigny, décédé le 22 janvier 1846 à Garigny 
Pierre FORCEAU  né ca 12 février 1771 à Garigny, décédé le 21 mai 1843 à Saint-Hilaire-de-Gondilly Situe la ville sur une carte OpenStreetMap 
Ré-organisation des rangs



Frères et soeurs :
Marie FORCEAU  née ca 10 décembre 1727 à Garigny, décédée ca 28 mai 1788 à Garigny 
François FORCEAU  né ca 1736 , décédé le 9 septembre 1798 à Garigny 
Sébastien FORCEAU  né ca 1739 , décédé après le 1er janvier 1793  
Marie FORCEAU  née ca 1743 , décédée après le 1er janvier 1793  
Oncles et tantes
Cousins et cousines
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