Jean Baptiste CAPART Afficher toutes les personnes portant le nom CAPART

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 Note sur la personne :
Censier, laboureur, cultivateur… Le mot laboureur caractérise surtout (je ne dis pas uniquement) le XVIIe siècle. Il est ensuite remplacé par cultivateur, assez souvent. Permettezmoi de prendre un exemple tiré de ma propre généalogie : mes ancêtres vivaient tous dans la même région, entre Lille et Tournai (aujourd’hui en Belgique). Au XVIe siècle, on les désignait sous le mot censier tandis qu’au XVIIe siècle c’est le terme de laboureur qui était utilisé. Ils deviennent ensuite (à la fin du XVIIIe siècle) cultivateurs, sans pour autant quitter leur exploitation agricole, leur ferme. Ce cas n’est pas unique, loin de là. La fameuse enquête sur les noms de famille commençant par les lettres TRA, menée par Jacques Dupâquier, a permis aussi de repérer cette évolution. La dénomination laboureur diminue sans cesse, au profit de celle de cultivateur qui s’impose au cours des XVIIIe et XIXe siècles. Mais le mot laboureur subsiste dans les provinces de l’ouest et du centre, depuis la Bretagne jusqu’au Forez ou à l’Auvergne.
On voit apparaître aussi, dans le Jura, la distinction entre le laboureur et le cultivateur, ce dernier étant le gros propriétaire. De même dans la région de Breteuil, pays de transition entre le Beauvaisis, la Normandie et la Picardie ; nous voyons disparaître peu à peu le terme de laboureur remplacé par celui de cultivateur et de propriétaire. Dans le bas Dauphiné, la distinction s’opère entre le journalier et le laboureur, selon qu’ils ont moins ou plus de trois hectares. Bref, la puissance foncière se traduit par des termes qui évitent de mélanger les torchons et les serviettes… Dans certaines provinces, il n’y a pas de laboureurs, ni de terme équivalent, pour des raisons économiques. Par exemple, dans les Vosges, le recensement de 1771 n’indique que des journaliers et des marcaires c’est-à-dire des éleveurs, mais aucun laboureur : « Il n’y a aucun labourage dans cette communauté, que quelques chenevières [culture de chanvre] et jardins potagers, laquelle est enclavée dans les désertes montagnes des Vosges, étant terre de sable qui ne produit rien. » Des cas semblables pourraient être relevés dans le Jura, les Alpes, le Massif Central ou les Pyrénées.
 né le 30 janvier 1743 à Vaux-sur-Somme Situe la ville sur une carte OpenStreetMap
décédé le 25 mai 1812 à Vaux-sur-Somme (âge : 69 ans et 3 mois)
Profession : Laboureur
Fils de Louis CAPART et de Jeanne DRIENCOURT



Conjoints :
Marie  GUAI ; Noyau familial Ascendants des conjoints mariés le 29 janvier 1772 à Vaux-sur-Somme

née ca 1750 à Vaux-sur-Somme
décédée le 20 avril 1822 à Vaux-sur-Somme
Profession :
Fille de Adrien GUAI et de Marie Jeanne JOLY

Enfants avec le conjoint :
Marie Jeanne CAPART  née le 15 février 1774 à Vaux-sur-Somme, décédée le 20 juillet 1851 à Vaux-sur-Somme 
Jean Baptiste CAPART  né le 28 novembre 1775 à Vaux-sur-Somme 
Thérèse> Angélique CAPART  née le 29 septembre 1777 à Vaux-sur-Somme, décédée le 26 octobre 1838 à Vaux-sur-Somme 
Louis> François CAPART  né le 11 mars 1779 à Vaux-sur-Somme, décédé le 30 mars 1831 à Vaux-sur-Somme 
Anschaire CAPART  né le 3 février 1781 à Vaux-sur-Somme, décédé le 2 avril 1866 à Vaux-sur-Somme 
Prudence CAPART  née le 4 mars 1785 à Vaux-sur-Somme 
Justine CAPART, dite Augustine  née le 10 septembre 1786 à Vaux-sur-Somme, décédée le 12 novembre 1865 à Vaux-sur-Somme 
Louis <Adrien> CAPART  né le 18 mai 1790 à Vaux-sur-Somme, décédé le 7 novembre 1859 à Vaux-sur-Somme 
Josèphe Félicité CAPART  née le 25 mai 1793 à Vaux-sur-Somme, décédée le 16 avril 1869 à Vaux-sur-Somme 
Ré-organisation des rangs


Oncles et tantes
Cousins et cousines
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