( 9ème génération côté maternel ) Simon DUFOUR Afficher toutes les personnes portant le nom DUFOUR

Ajouter une contribution pour Simon DUFOUR  Choisir provisoirement cette personne comme de cujus (ou Sosa 1) Chronologie Aide sur la page Arbres Arbre descendant Accueil
 Note sur la personne :
1 frere claude temoin a son DC avec Jacques son fils
Note sur la personne :
Censier, laboureur, cultivateur… Le mot laboureur caractérise surtout (je ne dis pas uniquement) le XVIIe siècle. Il est ensuite remplacé par cultivateur, assez souvent. Permettezmoi de prendre un exemple tiré de ma propre généalogie : mes ancêtres vivaient tous dans la même région, entre Lille et Tournai (aujourd’hui en Belgique). Au XVIe siècle, on les désignait sous le mot censier tandis qu’au XVIIe siècle c’est le terme de laboureur qui était utilisé. Ils deviennent ensuite (à la fin du XVIIIe siècle) cultivateurs, sans pour autant quitter leur exploitation agricole, leur ferme. Ce cas n’est pas unique, loin de là. La fameuse enquête sur les noms de famille commençant par les lettres TRA, menée par Jacques Dupâquier, a permis aussi de repérer cette évolution. La dénomination laboureur diminue sans cesse, au profit de celle de cultivateur qui s’impose au cours des XVIIIe et XIXe siècles. Mais le mot laboureur subsiste dans les provinces de l’ouest et du centre, depuis la Bretagne jusqu’au Forez ou à l’Auvergne.
On voit apparaître aussi, dans le Jura, la distinction entre le laboureur et le cultivateur, ce dernier étant le gros propriétaire. De même dans la région de Breteuil, pays de transition entre le Beauvaisis, la Normandie et la Picardie ; nous voyons disparaître peu à peu le terme de laboureur remplacé par celui de cultivateur et de propriétaire. Dans le bas Dauphiné, la distinction s’opère entre le journalier et le laboureur, selon qu’ils ont moins ou plus de trois hectares. Bref, la puissance foncière se traduit par des termes qui évitent de mélanger les torchons et les serviettes… Dans certaines provinces, il n’y a pas de laboureurs, ni de terme équivalent, pour des raisons économiques. Par exemple, dans les Vosges, le recensement de 1771 n’indique que des journaliers et des marcaires c’est-à-dire des éleveurs, mais aucun laboureur : « Il n’y a aucun labourage dans cette communauté, que quelques chenevières [culture de chanvre] et jardins potagers, laquelle est enclavée dans les désertes montagnes des Vosges, étant terre de sable qui ne produit rien. » Des cas semblables pourraient être relevés dans le Jura, les Alpes, le Massif Central ou les Pyrénées.
 né ca 1697
décédé le 3 août 1772 à Sailly-le-Sec Situe la ville sur une carte OpenStreetMap
Profession : Laboureur
Numéro Sosa : 448
Fils de X DUFOUR et de X épouse DUFOUR



Conjoints :
Éléonore DEVILLE ; Noyau familial Ascendants des conjoints mariés avant le 1er janvier 1724

née avant le 1er janvier 1689
décédée avant le 1er janvier 1765
Profession :
Numéro Sosa : 449

Enfants avec le conjoint :
Marie DUFOUR  née ca 1724 , décédée le 28 octobre 1788 à Sailly-le-Sec 
( 8ème génération côté maternel )Jacques DUFOUR, dit Jacques l'aîné( 8ème génération côté maternel )  né ca 1732 , décédé le 7 janvier 1800 à Sailly-le-Sec 
Ré-organisation des rangs



Frères et soeurs :
( 9ème génération côté maternel )Claude l'aîné DUFOUR( 9ème génération côté maternel )  né ca 1702 , décédé le 25 avril 1776 à Sailly-le-Sec 
Oncles et tantes
Cousins et cousines
Ajouter une contribution pour Simon DUFOUR  Choisir provisoirement cette personne comme de cujus (ou Sosa 1) Chronologie Aide sur la page Arbres Arbre descendant Accueil