Marie Françoise Honorine SÉNÉCHAL Afficher toutes les personnes portant le nom SÉNÉCHAL

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née le 15 janvier 1816 à Ansauvillers Situe la ville sur une carte OpenStreetMap
décédée le 17 août 1881 à Gannes Situe la ville sur une carte OpenStreetMap (âge : 65 ans et 7 mois)
Profession : Fileuse de chanvre
Fille de Pierre Sévère SÉNÉCHAL et de Marie Françoise DESJARDINS



Conjoints :
Antoine PLESSIER ; Noyau familial Ascendants des conjoints mariés le 26 septembre 1838 à Ansauvillers Témoins
Jean Louis Sénéchal, 28 ans journalier, frère de l'épouse, François Nicolas Leoir, 50 ans tisserand oncle maternel de l'épouse, Pierre Lenoir, 57 ans cultivateur oncle de l'époux, Jean Louis Garré, 28 ans tissirand, cousin germain de l'époux
 

 Note sur la personne :
Déclare le DC de sa mère en 1852, de sa belle-mère en 1857
Note sur la personne :
Censier, laboureur, cultivateur… Le mot laboureur caractérise surtout (je ne dis pas uniquement) le XVIIe siècle. Il est ensuite remplacé par cultivateur, assez souvent. Permettezmoi de prendre un exemple tiré de ma propre généalogie : mes ancêtres vivaient tous dans la même région, entre Lille et Tournai (aujourd’hui en Belgique). Au XVIe siècle, on les désignait sous le mot censier tandis qu’au XVIIe siècle c’est le terme de laboureur qui était utilisé. Ils deviennent ensuite (à la fin du XVIIIe siècle) cultivateurs, sans pour autant quitter leur exploitation agricole, leur ferme. Ce cas n’est pas unique, loin de là. La fameuse enquête sur les noms de famille commençant par les lettres TRA, menée par Jacques Dupâquier, a permis aussi de repérer cette évolution. La dénomination laboureur diminue sans cesse, au profit de celle de cultivateur qui s’impose au cours des XVIIIe et XIXe siècles. Mais le mot laboureur subsiste dans les provinces de l’ouest et du centre, depuis la Bretagne jusqu’au Forez ou à l’Auvergne.
On voit apparaître aussi, dans le Jura, la distinction entre le laboureur et le cultivateur, ce dernier étant le gros propriétaire. De même dans la région de Breteuil, pays de transition entre le Beauvaisis, la Normandie et la Picardie ; nous voyons disparaître peu à peu le terme de laboureur remplacé par celui de cultivateur et de propriétaire. Dans le bas Dauphiné, la distinction s’opère entre le journalier et le laboureur, selon qu’ils ont moins ou plus de trois hectares. Bref, la puissance foncière se traduit par des termes qui évitent de mélanger les torchons et les serviettes… Dans certaines provinces, il n’y a pas de laboureurs, ni de terme équivalent, pour des raisons économiques. Par exemple, dans les Vosges, le recensement de 1771 n’indique que des journaliers et des marcaires c’est-à-dire des éleveurs, mais aucun laboureur : « Il n’y a aucun labourage dans cette communauté, que quelques chenevières [culture de chanvre] et jardins potagers, laquelle est enclavée dans les désertes montagnes des Vosges, étant terre de sable qui ne produit rien. » Des cas semblables pourraient être relevés dans le Jura, les Alpes, le Massif Central ou les Pyrénées.
  né le 12 avril 1803 à Ansauvillers
décédé le 22 décembre 1878 à Ansauvillers (âge : 75 ans et 8 mois)
Profession : Tisserand, Cultivateur, Laboureur, Propriétaire
Fils de Pierre Antoine PLESSIER et de Marie Anne LENOIR

Enfants avec le conjoint :




Frères et soeurs :
Jean Louis SÉNÉCHAL  né ca 1810 , décédé après le 1er janvier 1857  
Oncles et tantes
Cousins et cousines
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