Marie  FRANÇOIS Afficher toutes les personnes portant le nom FRANÇOIS

Ajouter une contribution pour Marie <Rose> FRANÇOIS  Choisir provisoirement cette personne comme de cujus (ou Sosa 1) Chronologie Aide sur la page Arbres Arbre descendant Accueil
 Note sur la personne :
Date de naisance sur acte de mariage
 née le 19 avril 1786 à Sailly-le-Sec Situe la ville sur une carte OpenStreetMap
Profession :
Fille de Pierre FRANÇOIS et de Marie Françoise DESANLIS



Conjoints :
Pierre  CAUDRON ; Noyau familial Ascendants des conjoints mariés le 7 octobre 1807 à Sailly-le-Sec

 Note sur la personne :
François, prénom usuel lors du 1er mariage
Oierre lors du second.
Meunier à  Vaux sous Corbie
Note sur la personne :
Censier, laboureur, cultivateur… Le mot laboureur caractérise surtout (je ne dis pas uniquement) le XVIIe siècle. Il est ensuite remplacé par cultivateur, assez souvent. Permettezmoi de prendre un exemple tiré de ma propre généalogie : mes ancêtres vivaient tous dans la même région, entre Lille et Tournai (aujourd’hui en Belgique). Au XVIe siècle, on les désignait sous le mot censier tandis qu’au XVIIe siècle c’est le terme de laboureur qui était utilisé. Ils deviennent ensuite (à la fin du XVIIIe siècle) cultivateurs, sans pour autant quitter leur exploitation agricole, leur ferme. Ce cas n’est pas unique, loin de là. La fameuse enquête sur les noms de famille commençant par les lettres TRA, menée par Jacques Dupâquier, a permis aussi de repérer cette évolution. La dénomination laboureur diminue sans cesse, au profit de celle de cultivateur qui s’impose au cours des XVIIIe et XIXe siècles. Mais le mot laboureur subsiste dans les provinces de l’ouest et du centre, depuis la Bretagne jusqu’au Forez ou à l’Auvergne.
On voit apparaître aussi, dans le Jura, la distinction entre le laboureur et le cultivateur, ce dernier étant le gros propriétaire. De même dans la région de Breteuil, pays de transition entre le Beauvaisis, la Normandie et la Picardie ; nous voyons disparaître peu à peu le terme de laboureur remplacé par celui de cultivateur et de propriétaire. Dans le bas Dauphiné, la distinction s’opère entre le journalier et le laboureur, selon qu’ils ont moins ou plus de trois hectares. Bref, la puissance foncière se traduit par des termes qui évitent de mélanger les torchons et les serviettes… Dans certaines provinces, il n’y a pas de laboureurs, ni de terme équivalent, pour des raisons économiques. Par exemple, dans les Vosges, le recensement de 1771 n’indique que des journaliers et des marcaires c’est-à-dire des éleveurs, mais aucun laboureur : « Il n’y a aucun labourage dans cette communauté, que quelques chenevières [culture de chanvre] et jardins potagers, laquelle est enclavée dans les désertes montagnes des Vosges, étant terre de sable qui ne produit rien. » Des cas semblables pourraient être relevés dans le Jura, les Alpes, le Massif Central ou les Pyrénées.
  né le 30 septembre 1757 à Méaulte Situe la ville sur une carte OpenStreetMap
décédé le 13 mai 1831 à Sailly-le-Sec (âge : 73 ans et 7 mois)
Profession : Meunier, Laboureur, Valet de charrue
Fils de Adrien CAUDRON et de Marguerite TURQUET

Enfants avec le conjoint :
Romantine> Valentine CAUDRON  née le 11 mai 1808 à Sailly-le-Sec, décédée le 7 novembre 1823 à Sailly-le-SecProblème sur le rang
Ré-organisation des rangs



Frères et soeurs :
Thérèse Prudence FRANÇOIS  née le 29 avril 1788 à Sailly-le-Sec, décédée le 2 avril 1863 à Sailly-le-Sec 
Honorine Flore FRANÇOIS  née le 16 mai 1792 à Sailly-le-Sec, décédée le 4 septembre 1792 à Sailly-le-Sec 
Oncles et tantes
Cousins et cousines
Ajouter une contribution pour Marie <Rose> FRANÇOIS  Choisir provisoirement cette personne comme de cujus (ou Sosa 1) Chronologie Aide sur la page Arbres Arbre descendant Accueil